[vc_row][vc_column width= »1/3″][vc_column_text css= ».vc_custom_1479383939381{margin-bottom: 10px !important;} »]

Sans papier

Reportage sur l’occupation de l’église du Béguinage à Bruxelles par près de 400 travailleurs sans papier.

[/vc_column_text][vc_separator color= »orange » border_width= »2″][/vc_column][vc_column width= »2/3″][vc_column_text css= ».vc_custom_1486648864462{padding-top: 40px !important;} »]

Reportage sur l’occupation de l’église du Béguinage à Bruxelles par près de 400 travailleurs sans papier. En 2009, en réaction à une nouvelle mesure concernant l’expulsion des personnes résidant illégalement en Belgique, des centaines de migrants d’Afrique du Nord et d’Asie occupent différents lieux de la ville pour revendiquer leur droit de vivre librement et dignement sur le territoire belge. La majorité y sont installés depuis de nombreuses années, travaillent, paient un loyer, envoient leurs enfants à l’école, mais vivent constamment dans la peur d’être expulsés. Après plusieurs mois, dont plusieurs semaines de grève de la faim, la totalité se verront donner un court droit de séjour temporaire…

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

L’église du Béguinage

Quelques personnes passent leurs journées dans l’attente, lorsqu’ils ne préparent pas de manifestations.

Plus de 400 personnes occupent l’église

Quelques familles avec enfants font partie du groupe d’occupants

Des collectes de nourriture sont organisées chaque jour avec des organismes sociaux. Cette femme prépare les repas pour tout le monde, avant le début de la grève de la faim.

Pour forcer le pouvoir public a agir, ce jeune homme a, comme la majorité des occupants, entamé une grève de la faim après deux mois d’occupation. Il préférait mourir plutôt que d’abandonner le combat.

Préparation des manifestations.

Réunion quotidienne des occupants.

Durant les manifestations, plusieurs autres groupes de travailleurs sans-papier occupant d’autres lieux de la ville s’unissent pour revendiquer leurs droits.

Plusieurs femmes font partie du groupe, certaines d’entre elles ont dû laisser leurs enfants au pays, confiante de les faire venir peu de temps après, mais leur situation illégale et précaire ne leur permet ni de les faire venir, ni de retourner les voir.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]