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Ouessant
Reportage photo sur l’île de Ouessant, au large de Brest, anciennement appelée l’Île aux femmes.
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Elle est la plus sauvage au large de la Bretagne. La moins connue. Et la plus proche de l’Amérique du Nord. Ile balayée par les vents de l’Atlantique et ceux d’une histoire à nulle autre pareille, où les femmes ont occupé l’avant-scène, en l’absence des hommes partis en mer. C’est Ouessant, autrefois appelée l’île aux Femmes. (texte de Monique Durand)
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Leurs hommes partaient pour un an, parfois deux. Le mari de Françoise Colin travaillait pour la Marine française. Il revenait 6 semaines par année sur l’île. Même chose pour le mari d’Anne Creach. « Si j’avais su ce qui m’attendait, jamais je n’aurais épousé un marin! » « Je me serais faite bonne sœur », ajoute-t-elle avec une mine coquine.
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Anne a fait promettre à ses deux fils de ne jamais devenir marins. Pareil pour Jeanne Le Gall. La mer lui a enlevé son compagnon pendant des années jusqu’à ce qu’elle le prenne définitivement. « Une grosse lame l’a emporté alors qu’il posait des casiers à crabe sur la berge ».
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Quand les marins ouessantins revenaient, ils avaient oublié le goût des fraises et du pain frais mais pas celui de l’amour. Ouessant atteignit un pic de population autour des années 1900 avec 3,000 résidents. Vivaient alors sur Ouessant trois femmes pour un homme. (Extrait d’article de Monique Durand)
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